http://s2.bitefight.fr/c.php?uid=66649
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Bonjour a tous, je me présente je m ‘appelle Katia et j’ai 18ans je n’ai pas
encore passé mon permis mais je vais bientôt le passer. Surtout ne penser
pas que ce livre va être le récit d’une fille complètement paumée qui veut
passer des coups de gueule même si des fois je le ferai mais bon j’essayerai
d’en faire le moins possible je vous le promet.
Je vais quand même expliquer pourquoi j’écris. J’écris pour me libérer de la
pression de mes parents vous devez vous dire encore une qui veut régler ces
problèmes en public mais dans mon cas personne ne pourra me répondre à part
peut être vous , je dis personne car mes parents sont morts il y a
maintenant 3 ans surtout je ne veux pas entendre: « ho la pauvre petite »
car je le sais que c’est malheureux de perde un parent mais deux c’est pire
surtout quand ils ne meurent pas en même temps quand l’on voit sa mère
partir dans un état de déprime puis son père à cause de cette saloperie
d’alcool qui bousille tout, la vie de famille, le budget, et même la vie
d’un homme. Le pire je pense ça a été de voir ma mère partir car je
l’aimais, j’aimais aussi mon père mais d’une façon différente quand j’y
pense l’amour que je portais à ma mère était tellement fort que j’aurais
tout fait pour quelle guérisse mais hélas même les plus grands médecins
n’ont pas réussi à la sauver de son mal. Ce que je voulais savoir sur ma
mère c’est comment était-elle tombé en déprime car depuis toute petite je ne
me rappelle pas l’avoir déjà vu souriante ou en train de rire avec moi et
ma… sœur. Vous vous demandez sûrement pourquoi je parle ainsi de ma sœur
ainsi, je ne vais pas vous dire que je ne l’a supportais pas je mentirais
car j’adorais ma sœur, je parle d’elle au passé car une voiture, un jour de
juillet je m’en rappelle comme si c’était hier,est passée à une vitesse pas
possible au plein centre ville ma sœur avait 6 ans elle n’a pas vu la
voiture passée, elle a traversée et la voiture la projetée à 20 mètre devant
elle. La voiture ne s’est pas arrêtée elle n’a même pas freinée. La voiture
était verte, pas le vert de maintenant qui ressemble à du noir je veux dire
du vert pomme, elle n’avait pas de plaque minéralogique elle avait du être
volée quelles heures avant. C’était comme si tout était prévu et depuis ce
temps je n’est plus jamais revu ma mère sourire comme si moi aussi j’aurai
du mourir avec elle car je m’en rappelle ma mère n’est même pas venu à
l’enterrement, l’enterrement de sa propre fille de 6 ans. Je me suis dis
qu’il devait y avoir quelque chose de pas normal mais j’ai passé outre. Je
n’aurai jamais du faire cette faute de ne pas faire attention à ce
« détail » qui n’en était pas un. Pour moi étant encore petite je n’avais
que 8 ans, ma mère déprimais à cause de la mort de Sophie, ma sœur, mais en
fait non pas du tout elle déprimais car je n’étais pas morte avec elle. Je
l’ai lu dans son testament ou elle m’a dit toute la vérité de sa dépression.
Je ne vais pas vous dire mots par mots ce qu’elle m’a dis mais je vais vous
dire en gros ce qu’elle m’a écrit car en plus du testament qui a été lu
devant ma famille elle m’a écrit une lettre ou elle me disait: « depuis que
ta sœur est morte je m’efforce de comprendre pourquoi le bon dieu m’a puni
en voulant que tu restes en vie car ma vie avec toi a été un calvaire car tu
étais tout le temps dans mes pattes en gros tu m’a fait chier depuis que tu
es née j’ai eu envie de vous tuer toi et ta sœur car en plus vous étiez des
filles et puis même je ne vous ai jamais voulu c’est votre père qui voulait
des enfants enfin pour lui enfants c’était égal à garçon et j’ai eu le
malheur de lui faire deux horrible filles vous enfin maintenant je devrais
dire TOI car ta sœur est morte dans ce prétendu accident car comme je l’ai
di dans mon testament c’est moi qui est demander a un spécialiste de vous
tuer mais hélas il ne t’a pas eu . A ton avis pourquoi ton « père » se
saoulait tous les jours c’était pour ne plus te voir je sais que tu pensais
qu’il buvait pour atténuer sa peine d’avoir perdu sa fille mais non pas du
tout c’était pour éviter de penser à toi. Je ne peux même pas te dire que je
suis vraiment désolé mais je sais que je suis désolé de me pas voir ta tête
au moment même ou tu lis cette lettre. »voila toute la méchanceté de ma mère
en quelques lignes car sa lettre faisait environ une copie double pour vous
donnez une idée de la longueur de ce torchon et je peux vous dire que juste
après cette lettre j’ai voulu me venger mais je ne pouvais pas me venger
enfin je veux dire sur personne car je n’avais plus personne autour de moi
mais en réfléchissant j’ai retrouver l’amour que j’avais envers ma mère et
oui !vous devez vous dire que je suis folle mais en pensant à ce quelle a
fait je me dis que elle nous aimait à sa façon c’est-à-dire en voulant nous
tuer mais elle nous aimais quand même car on peut dire qu’elle nous a
supporter pendant 6 ans pour ma sœur mais 14 ans pour moi. Bon je vais
arrêter de parler de ma mère car pour vous cela doit être saoulant mais en
plus pour moi c’est éprouvant car encore une fois je l’aimais c’était ma
mère quand même. Mais bon je vais vous parler d’une autre partie de ma vie
enfin si vous voulez sinon vous pouvez partir même si je voudrais que vous
restiez. Bon alors je vais parler de mon entrée au lycée ce qui a été le
pire jour de ma vie enfin peut être le quatrième après la mort de ma sœur de
mon père et de ma mère. Quand je suis arrivée dans le lycée, un grand
bâtiment de trois étages ou de quatre je ne m’en rappelle plus tellement.
Mais bon ça ce n’est qu’un détail sans importance. Donc voilà le premier
jour c’est passer ainsi: d’abord je rate mon car à 2 minutes près, après
quand j’arrive en retard dans ma classe bien sur en retard pour mon premier
cours de l’année et donc je me fais tout de suite remarquer en plus je ne
connaissais même pas le lycée, je me suis perdu comme une conne et pour me
justifier au CPE, je pense que vous savez ce que c’est si vous ne savez pas
c’est l’endroit ou il y les pions, et puis à la limite je me suis dit que
tant qu’à se faire remarquer pour de bon je me suis mise à courir dans les
escalier pour aller aux toilettes là je me suis changée, j’étais venu
habiller avec une jupe sur un pantalon et un petit débardeur qui m’arrivait
à environ cinq centimètres du nombril et par-dessus un gilet, donc pour me
changer j’ai juste enlevé mon pantalon et j’ai coincé mon gilet au niveau de
mes hanches. Quand je regardais les autres qui me voyaient arriver j’étais
morte de rire il faut dire la tête qu’ils avaient. Quand je les regardais
j’avais l’impression qu’ils avaient vu un extraterrestre mais non ce n’était
que moi et mon innocence enfin innocence envers le règlement intérieur mais
comme j’étais une nouvelle élève personne ne m’a rien dit et c’est là ce que
j’ai trouvé gênant qu’ils ne me disent rien alors que je suis habillée comme
une putain et oui personne n’a osé me le dire à part une fille qui est
devenu ma meilleure amie depuis et oui je sais c’est un peu bizarre mais bon
ce n’est que la vérité mais pour qu’elle garde son intégrité je lui est
promis de ne dire ni son nom ni son prénom donc pour vous elle s’appellera…
désolé mais là je n’ai d’idée de prénom. mais si un nom me plais pour ma
meilleure amie je vous le dirais. C’est bon pour vous ma meilleure amie va
s’appeler Michelle. Et oui le début de notre grande amitié est basé sur mon
entrée au lycée elle est venu me dire clairement que je ressemblai a une
putain et je lui ai répondu que si ça la gênai elle n’avait pas à me
regarder donc à faire comme les autres mais non elle est venu tous les jours
me faire une remarque vestimentaire c’est je pense ce qui m’a plu chez elle:
sa liberté de parole de dire ce qu’elle pense alors que tous les autres le
disais par derrière mais bon le regard des autres sur moi je m’en foutais
mais si Michelle me disait quelque chose je courais chercher quelque chose
pour me changer et le plus souvent je le piquais à quelque un comme ils
avaient peur de moi tout le monde me donnaient ce que je voulais c’était
marrant mais bon maintenant je me suis assagie enfin je l’espère en tout cas
c’est ce que me dit Michelle et je l’a crois. Moi j’avais du mal question
vestimentaire mais Michelle elle avait un problème dans sa famille son père
était alcoolique comme le mien c’est aussi peut être ça qui nous a
rapprocher mais son père à elle voulait qu’elle est tout le temps des super
notes donc elle se donnait à fond à chaque devoirs même quand elle ne
comprenait pas elle bûchait comme une dingue. Et si par malheur elle se
payait un 12 elle se faisait frapper je le sais car qu’il y ai quelque un
une copine ou n’importe son père s’en foutait et la frappait et une fois
j’ai eu le malheur de m’interposer et là il a commencé à me frapper aussi
mais moi je ne me suis pas laissé faire je me suis tellement débattu qu’il a
lâché prise et j’ai pu courir jusque chez les flics et je leur ai dit ce qui
se passait chez Michelle mais ils ne m’ont pas cru donc je suis allée
chercher Michelle qui elle avait plein de bleu partout sur le corps et là
enfin ils m’ont cru mais avec un gros doute car quand Michelle m’a dit que
quand elle est arrivée à l’hôpital ils lui ont d’abord passer du
démaquillant. La confiance règne ça fait peur. Mais bon çà à tout de même
permis aux flics de coffrer ce salop qui se fait passer pour le père de
Michelle mais étant donné que son père était sa seule famille Michelle a été
placé dans un foyer comme le mien sauf qu’ils étaient séparé de plusieurs
kilomètres. Mais ce n’est pas la distance qui nous gênait car nous étions
tout le temps ensemble on parcourait au minimum 10 kilomètre chacune pour ce
voir. et oui on s’aimaient enfin je ne sais pas si c’était de l’amour
sexuelle ou sensuelle car on adorait se cajoler se faire des câlins mais
cela ne nous empêchait pas de sortir avec des garçons mais dès que l’une de
nous avait un copain et pas l’autre on était jalouse alors à chaque fois on
jetait les mecs pour ce retrouver toutes les deux dans mon lit le plus
souvent car dans ma nouvelle famille d’accueille j’avais un grand lit bien
chaud et bien douillet. Je ne vais pas vous dire les détails de ce que nous
faisions car je pense que vous l’imaginez assez. Michelle et moi c’était une
relation on va dire fusionnelle a la fin on ne pouvait plus ce quitté et ma
famille l’a bien compris heureusement pour nous car elle a fait une demande
de placement de Michelle chez eux. Donc nous pouvions nous cajoler quand
nous le voulions c’était le pied!! Mais cela c’est fini hélas car au bout
d’un moment on en avait marre d’être tout le temps collé même si on prenais
notre pied à chaque fois. Bon je vais arrêter de parler de mes ébats
amoureux. Donc je vais vous dire ce qu’il c’est passé après notre entrée en
faculté ça a été la galère car il fallait que l’on se trouve un appartement
pas trop chère car plus personne ne pouvait porter cotions pour nous car la
famille nous avait mise à la porte quand elle a su qu’on partait en fac et
oui voila une super famille vous ne trouvez pas? Moi je n’ai pas trop
apprécié mais Michelle c’était pareil pour elle que l’on soit dehors ou
dedans car la famille ne la supportait pas pourquoi ça je ne l’ai jamais su
mais bon passons. Donc mon arrivée a la fac c’est passé presque de la même
façon que mon entrée au lycée mais bon ça c’est une autre histoire que je
préfère oublier même si je pense vous mourrez d’envie de savoir mais je ne
veux pas ouvrir une plaie qui est déjà assez profonde. Mon arrivée a la fac
ma fait changer complètement de style je suis devenu une fille gothique je
me suis coupé les cheveux en carré au niveau des oreilles et je me suis
teint en noire jais. Et à ce moment je me suis enfin sentie bien dans ma
peau et oui il m’a fallu beaucoup de temps pour savoir comment je me sentais
bien mais bon au moins je vais mieux dans ma tête et grâce à ça je me suis
trouver un petit copain et oui avec Michelle plus rien ne se passait je ne
trouvais plus rien d’excitant heureusement que Tom m’a fait découvrir une
nouvelle version du sexe et je peux vous dire que l’a j’ai aimée et que j’en
redemandais à chaque fois du rab.
Lénic A.
LA DERNIÈRE DANSE DU TUTU ROSE
C’était une de ces nuits sans étoiles, celles où il n’y avait que pour son que le vent giflant à bout portant et la pluie tambourinant à grosse gouttes à toutes parois. Elle adorait ces nuits-là, et chaque fois que celles-ci se produisaient, elle s’avançait à la fenêtre et regardait les larmes tomber du ciel. Et étrangement, cela faisait plusieurs jours qu’il pleuvait ainsi sans le moindre répit.
-Romy?
Il l’appelait, caché dans l’ombre, comme convenu depuis leur rencontre. Il ne manquait plus qu’elle.
L’adolescente s’était alors retournée, débarrassée de ses habits, puis a laissée Enryck jouer d’elle comme d’une vulgaire marionnette docile et sans vie. C’était toujours ainsi : Que des relations mécaniques, sans plaisir, où elle lui vendait son corps et devenait, l’instant d’une nuit, sa propriété. Et lui, en échange, lui permettait de vivre sous son toit. Rien de plus simple. Elle n’avait qu’à se laisser malmener comme de la viande section boucherie et faire semblant de répondre aux désirs égoïstes de son client qui devait avoir au moins le double de son âge.
Dans ces moments-là, elle parvenait à en oublier qu’elle existait.
Personne ne savait rien de son passé, elle non plus d’ailleurs. Elle avait à peine six ans lorsque Enryck l’avait trouvée dans une ruelle oubliée, à moitié morte de froid, serrant dans ses petits bras d’enfant un tutu rose trop grand pour elle. C’était-là, se souvint-elle en avalant le sexe de son client, qu’elle s’était donnée ce drôle de nom, <>, et qu’il l’avait ensuite emmené chez lui puis que, sous prétexte de la réchauffer, il l’avait violée pour la première fois.
Mais malgré toutes ces années passées avec cette étrange fille sans passé, certains détails avaient tout de même sus échapper à Enryck. Ses yeux, par exemple. Jamais il n’avait réussit à en distinguer la couleur, et cela le troublait encore.
Lorsqu’elle sentit qu’Enryck fut physiquement comblé, Romy le laissa choir dans son lit. Elle n’avait pas sommeil. Même, elle faisait exprès pour dormir le jour et vivre la nuit, comme si la noirceur bienfaitrice de cette dernière lui donnait l’impression de n’être plus qu’une ombre parmi tant d’autres, comme si elle n’existait pas. L’adolescente s’habillait toujours tout de noir, n’ayant que pour seule couleur ce tutu rose à sa taille couvrant ses pantalons. Ce tutu ne l’avait jamais quitté et semblait, pour elle, être le seul vestige d’un passé dont elle ne retenait plus aucun souvenir.
Elle sortit. La pluie l’enveloppa d’un coup sec, et Romy ouvra ses bras à celle-ci, levant la tête et fermant les yeux. Il lui semblait alors que sa vie n’était alors qu’un rêve, que lorsqu’elle rouvrirait les yeux et que la pluie aurait cessé, son âme serait finalement libre et que les mots coulerait avec un succès triomphant. Mais à chaque fois, rien de tout cela ne se produisait. Elle redevenait automatiquement un objet érotique, sans passé ni futur, et dont les poèmes noirs qu’elle s’aimait à écrire n’intéressaient personne.
Où avait-elle appris à lire et écrire? Encore là, c’était un mystère. Elle n’avait qu’à fermer les yeux et les mots coulaient d’eux-mêmes, tout simplement.
Mais cette fois-ci, lorsque l’adolescente rouvrit les yeux, elle aperçut ce qui lui apparut comme étant une fissure dans l’air devant elle. Une fissure large et noire semblable à un éclair figé à même le paysage, comme si l’univers était d’un coup devenu une photographie déchirée en son centre. Une telle découverte laissa d’abord Romy perplexe, mais sa curiosité la fit s’en approcher d’avantage. Au bout d’un instant, son index se risqua timidement à atteindre cet étrange phénomène, puis, sans qu’elle ne puisse rien y faire, l’adolescente se sentie aspirée à l’intérieur même de la fissure, puis disparut.
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Sur son trône, la reine Mab s’impatientait. <>, lui avait pourtant dit le capitaine de milice. <>, qu’il s’était même empressé d’ajouter, et la voilà qui l’attendait depuis maintenant près d’un quart d’heure. Comment osait-il lui faire ça? Comment osait-il faire attendre sa reine?
Le capitaine Nelligan arriva enfin, l’air sombre et les traits sévères, un radar portatif sous le bras. Il le tendit aussitôt à la reine Mab qui le saisit et auquel elle jeta un bref coup d’œil, sans vraiment comprendre.
-Que voyez-vous?
-Rien, fit d’abord la reine. Mais…Qu’est-ce au juste que ce point orangé? Voyez : juste ici!
Le militaire ne prit même pas la peine de s’avancer, se contentant de regarder la reine dans les yeux.
-Ça, c’est LE problème.
Ce fut là qu’il s’avança et murmura quelque chose à l’oreille de la reine Mab dont le visage devint blanc de stupeur. La théorie qui s’échappait de ses lèvres se pouvait-elle? Se pouvait-il vraiment que les portes entres les mondes se soient ouvertes à nouveau? Pour le savoir, il n’y avait qu’une chose à faire : Ramener l’intrus et analyser le contenu de sa mémoire.
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Le monde de la fissure était étrangement blanc. Les arbres étaient blancs, le ciel était blanc, bref, tout était blanc. En y regardant de plus près, Romy constata, à son plus grand étonnement, que tout mais absolument tout n’était fait que de papier.
Elle qui était habillée tout de noir pour se cacher dans l’ombre protectrice de la nuit, le fait de se retrouver dans un si blanc monde la désarmait. Elle était visible. De partout l’adolescente se sentait observée et se retournait sans arrêt, paniquée, pour ensuite constater que son imagination lui jouait des tours. Son cœur semblait prêt à défoncer sa poitrine à un rythme endiablé pendant que sa raison perdait tout son sens.
-Hey! Qui est-tu? s’écria soudain une voix derrière-elle.
Romy se retourna aussitôt, mais encore une fois, il n’y avait rien. Elle avait beau entendre des bruits de pas, mais aucun corps ne prenait forme là où son regard se posait.
Puis, il n’y eut plus rien. Que le silence. Et, venant de nulle part, un terrible coup lui fit perdre connaissance.
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Lorsqu’elle revint à elle, Romy se demanda où elle pouvait bien se trouver. On l’avait amené dans une étrange pièce où les murs, le plafond ainsi que le sol n’était qu’un immense miroir. Là aussi elle se sentit aussitôt anormalement exposée, mais cette fois-ci, à son propre regard.
-Bonjour à toi, jeune fille, lui lança alors la reine Mab qui venait tout juste d’apparaître derrière elle, tenant un casque d’invisibilité dans ses mains. Alors, comment se sent-on lorsqu’on est entouré de miroirs?
L’adolescente se retourna, sans rien dire. La reine s’avança et la gifla.
-L’impolitesse est formellement interdite dans mon royaume, chère enfant! Lorsque la reine demande, il faut répondre!
Romy posa une main sur sa joue en feu, puis regarda cette folle silhouette dans les yeux, l’air de dire : <>. Heureusement pour elle, cela sembla satisfaire la reine.
-Qui es-tu, jeune fille? Et d’où viens-tu? demanda alors la voix froide.
-Depuis que j’ai six ans, je m’appelle Romy et j’habite dans un appartement. Avant cela, je n’arrive plus à me souvenir de quoi que ce soit.
Un court et blanc silence trancha l’atmosphère des sons.
-Tu oses te moquer de moi, c’est ça? cracha soudain la reine. Hey bien, ma petite, crois-moi, tu vas devoir souffrir pour m’avoir menti.
Puis, une fois le casque sur sa tête, la souveraine disparue comme elle s’en était venue, laissant Romy seule avec ses reflets. Au début, l’adolescente boudait sa propre image, préférant fermer les yeux plutôt que de se voir. Pour la première fois depuis des années, elle se voyait dans un miroir, et ce simple fait lui donnait l’impression d’exister. Mais étrangement, au même instant, Romy réalisait à quel point elle avait honte d’elle-même et de ce qu’elle était.
Puis soudain, les murs se rapprochèrent d’elle, rendant la salle infiniment plus petite à vue d’œil. Romy paniquait : Cela n’arrêtait plus! Il n’y avait aucune sortie possible…Serait-elle écrasée comme une vulgaire mouche? Qu’allait-il arriver? Que se passait-il? L’adolescente n’en savait rien; les battements de son cœur étaient si forts qu’ils enterraient sa voix intérieur, l’empêchant de réfléchir; elle ne contrôlait plus ses pensées, faisant ressurgir à son esprit divers fragments de sa vie en mode accéléré : Elle se revoyait se faire violer par Enryck, coucher avec lui, danser sous la pluie, écrire de la poésie, et tout cela à une vitesse vertigineuse!
Mais les murs se rapprochaient toujours, ne laissant plus qu’à l’adolescente tout juste l’espace d’un cercueil…
Les images de son existence avaient pourtant une limite, si bien que le film qui déambulait dans sa mémoire s’arrêta à l’âge de six ans.
-Qu’allez-vous faire, sa majesté? fit alors une voix venant de nulle part.
Puis, sans mot dire, les murs/miroirs se moulèrent à même la peau de la captive qu’ils engloutirent toute entière, si bien que ce que l’adolescente avait d’abord crut être une salle repris sa forme première : un simple miroir.
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Depuis le début du règne de la reine Mab, plus rien n’était pareil : Les couleurs avaient disparues et tout n’était plus que de papier. Personne ne savait ce qu’il était advenu du rose des fleurs, du bleu du ciel, du noir de la nuit, du vert de l’herbe, et à la longue, on avait appris à se taire et à accepter qu’il en était peut-être mieux ainsi. On commençait même à trouver que la nourriture en capsules n’avait pas si mauvais goût après tout et qu’elle était même très pratique, quoique les anciens s’ennuyaient en silence des temps passés.
Pour la reine Mab, c’était ça le progrès.
Alexi Laiho n’avait rien connu d’autre que cette vie-là, une vie terne et blanche, enfermé dans un royaume de pierre invisible si grand que l’on pouvait facilement s’y perdre. Il avait même toujours été convaincu que la reine Mab avait amélioré la qualité de vie de Zikmund, le monde de la fissure, et à dix-sept ans, il s’enrôla dans la milice pour servir sa communauté.
Mais ce que Laiho avait vu ce jour-là allait désormais changer sa vie à tout jamais.
Tout d’abord, le capitaine Nelligan lui avait donné pour commission d’effectuer une opération de routine à l’extérieur du royaume, soit sur la terre de papier, afin de s’assurer qu’aucun individu ne s’y trouvait. Le jeune homme avait alors crut que ce ne serait qu’une journée ordinaire, sans plus, jusqu’à ce qu’il vit une étrange silhouette se déplacer à quelques pas de lui. Celle-ci, tout de noir vêtue à l’exception d’un tutu rose, semblait effrayée et insécure face à autant de blancheur tandis que lui, de son côté, était émerveillé devant une telle apparition.
Mais les ordres étaient des ordres, et s’il advenait qu’un intrus ne se trouva sur le territoire de papier, les membres de la milice devaient l’assommer et l’emmener à la reine qui, au nom de la sécurité de Zikmund, fouillait alors sa mémoire dans les moindres détails pour s’assurer que l’inconnu ne représentait pas un danger pour la communauté. Ce fut donc ce que fit Alexi Laiho, à contrecœur.
Lorsqu’il vit l’adolescente dans cette salle qui n’était rien d’autre qu’un miroir, son cœur ne fit alors qu’un tour, sans même en connaître la raison. Était-ce la façon dont elle fixait ses yeux dans l’espace devant elle? À moins que ce ne soit tout simplement ce mélange fulgurant et complexe d’émotions et de vide qui émanait d’elle? Toujours était-il que Laiho n’était certain que d’une chose : Il l’a trouvait mystérieusement belle.
-Hummm…Quel étrange phénomène, avait tout à coup remarqué la reine Mab. Sa mémoire semble bel et bien prendre fin à l’âge de six ans…
Il était resté auprès de la reine et regardait les images qui filaient follement à l’écran du capteur de mémoire, et ce qu’il y vit le laissa sans mot. Il la vit nue à plusieurs reprise avec un homme envers lequel elle n’éprouvait aucun sentiment; il la vit ensuite toute petite, serrant un tutu rose en ses petits poings d’enfant; puis il la vit seule, sous la pluie, en train de pleurer dans la sombre clarté de la nuit… Mais qui était-elle? Alexi Laiho n’en avait pas la moindre idée, mais alors qu’il voyait le contenu de sa mémoire, il réalisa à quel point elle avait souffert, et cela lui vira le cœur à l’envers.
-Qu’allez-vous faire, sa majesté?
Il avait espéré que sa reine soit assez clémente pour libérée la captive, qu’elle comprendrait finalement que leur prisonnière était tellement détruite par la vie qu’elle en était devenue inoffensive.
Mais lorsqu’il vit le miroir avaler la jeune fille en lui, Laiho sentit qu’il s’était drôlement trompé, et depuis, il fouillait le royaume de fond en comble afin de retrouver ce miroir.
Cela lui prit plusieurs jours avant de trouver un passage secret menant à une étrange salle remplie d’objet couverts de longs voiles blancs. Par curiosité, le jeune homme en souleva un, puis un autre, et un autre, constatant que la pièce était en fait un entrepôt de miroirs. Mais étrangement, de chacun d’eux s’échappait un étrange reflet : Il y en avait un dont la glace était rose, un autre dont la glace était bleu, un autre noir, un autre vert…Puis dans tout cet étrange désordre, Alexi Laiho découvrit un miroir où figurait une jeune fille. Au début, elle lui parut légèrement endormie, jusqu’à ce qu’elle ouvre les yeux et le regarde.
C’était bien elle.
L’adolescente était prisonnière du miroir, et elle fixait Laiho d’une expression qui aurait pu paraître sévère, mais qui, en fait, n’était qu’un masque qu’elle se donnait pour ne pas montrer sa faiblesse, et cela, le jeune milicien le comprit.
-Qui es-tu? lui demanda-t-elle le regard noir et pourtant étoilé.
- Cela n’a pas d’importance. Je ne veux que ton bien, c’est tout ce que tu dois savoir.
Puis après quoi, il rajouta :
-Je m’appelle Alexi Laiho.
-Moi c’est Romy, fit-elle en desserrant légèrement les lèvres.
-Je sais.
Depuis, Laiho revint chaque jour dans la salle aux miroirs, et chaque fois, il la revoyait et tremblait d’envie de la sortit de cette prison miroitée puis de déposer ses lèvres sur les siennes et laisser ses doigts glisser sur sa peau pâle. Romy le sentait, frissonnait lorsque les doigts du jeune homme venaient dessiner son contour dans la glace, faisant naître en elle un sentiment dont elle ignorait jusqu’alors l’existence et qui la rendait à la fois étrangement mal à l’aise et heureuse.
Puis un jour, Alexi Laiho regarda par sa fenêtre et observa attentivement le paysage qui s’offrait à lui – blanc, immensément blanc, terne et sans vie. Il Repensa alors aux miroirs qu’il avait vu, ceux dans lesquels des couleurs étaient inutilement figées, emprisonnés, et dont le paysage de Zikmund était désormais privé. Pourquoi la reine Mab avait-elle fait cela? Le jeune milicien l’ignorait, et pour dire la vérité, il préférait l’ignorer à présent. Tout ce qui comptait dans son esprit, c’était de rétablir les couleurs et de libérer Romy de leur miroir.
Et lorsqu’il vint dans la salle des miroirs ce jour-là, il les fit tous tomber en mille et un morceaux de verre.
-Mais que fais-tu? s’écria Romy qui le regardait faire sans comprendre.
Pour toute réponse, elle n’eût que ceci : <>, suivit du lourd cri d’un miroir fracassé contre le sol.
Puis ce fut son tour. Son miroir vint finir sa vie dans un éclat de verre brisé, et son corps fut délivré et reprit forme. Laiho la regarda en silence, ce qu’elle fit aussi avant de se laisser tomber dans ses bras, le cœur battant à plein régime.
-Tu ne peux pas rester, lui murmura-t-il entre deux baisers. Ce serait trop dangereux.
Le jeune homme tendit alors un casque d’invisibilité à Romy.
-Prend cela et cours te réfugier à l’endroit de la fissure. Je te rejoindrai.
Mais lorsqu’il vint, il était déjà trop tard : Habituée à la blancheur qu’avait autrefois le monde de Zikmund, Romy se perdit dans le paysage et fut aspirée à même la fissure. Alexi Laiho ne la revit plus qu’en songe, prisonnière à présent de sa mémoire.
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Il faisait nuit, et à ce moment précis, un jeune adolescent se promenait à travers les ruelles sombres de son quartier. Il n’avait aucun but spécifique en tête alors qu’il marchait ainsi, mais soudain, au coin de la ruelle suivante, il entendit les pleurs d’un enfant. Il s’approcha alors du petit tas d’ombre qui tremblait de froid et de pleurs, et s’aperçut qu’il s’agissait d’une fillette à laquelle il ne donnait pas plus de six ans.
-Que se passe-t-il? lui demanda-t-il.
Le silence fut sa seule réponse, et la jeune fille ne fit que serrer d’avantage un tutu rose trop grand pour elle entre ses petits poings enfantins.
-Je m’appelle Enryck, tenta-t-il encore. Tu as froid?
La petite cessa alors de pleurnicher.
-Oui…Je suis glacée jusqu’aux os…
-Veux-tu que je t’amène chez moi?
Morte de froid, la pauvre jeune fille prit alors la main de ce charmant inconnu qui semblait si gentil.
-Je m’appelle Romy, inventa-t-elle.
Puis, une fois chez lui, il lui déchira ses vêtements, n’épargnant cependant que le tutu rose qui vint voltiger dans la noirceur inhumaine de la pièce, léger, comme s’il dansait.
FIN
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Modifié en dernier lieu le 7.12.2005
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sur le theme de la science fiction, un grand bravo a johanna !! 20/20
LA FIN DE LA TERRE
- "...5,4,3,2,1 Bonne année!!!!!!!!!!!!!!!!"
Et oui, l'année 3010 etait arrivé, l'année où j'atteignais enfin la majorité ! On fêtait à la fois mon anniversaire et le nouvel an, vous devinez la joie qui reignait chez moi à ce moment même. Mon meilleur ami X 200 était en train de servir les invités de ces nouveaux gâteaux d'anniversaires en gellules qui révolutionnent le marché, on en absorbe une et on à l'impression de déguster le meilleur gâteau au chocolat de la terre sans avoir eu à le faire! 6 heures sonnait, je n'avais pas réussit à trouver le sommeil, X 200 mon fidèle robot avait déjà préparé le petit dejeuner. Papa et maman était déjà visiblement partit quand j'apperçut par la fenêtre l'allée vide. Soudain la télévision s'alluma, celà signifier que quelque chose d'important allait suivre, je montais le son :
- " Mesdames et messieurs bonjour, nous sommes en état d'alerte, vous devez évacuer la terre dans le mois qui suit, des vaisseaux ont étés mis a votre disposition. Veuillez commencer à vous préparer pour déménager sur la planète Vita car la destruction de la terre est pour bientôt...."
Le bulletin de nouvelles continuait mais mon esprit n'enregistrait plus rien, le moment tant redouté était arrivé. Celà était bien vrai, notre chère planète Terre allait bientôt rendre son dernière souffle. X 200 me regardait avec étonnement, évidemment il ne comprenait pas ce qui se passait car je n'avais pas encore acheté le nouveau programme " l'intelligence humaine pour robots ". Je me demandais si papa et maman était au courant de notre deménagement hâtif. Je monta l'escalier, me dirigea vers ma chambre et jeta un coup d'oeil par la fenêtre, tout ce que j'ai toujours connut allait disparaître et je ne put m'empêcher de laisser couler une larme sur ma joue. Le lendemain, je décida d'aller faire un tour de ma bicyclette à propulsion que mon père m'avait offert pour mes 16 ans et elle fonctionne toujours très bien. À peine arrivé devant le petit centre commercial, je fut prit de panique, est-ce un rêve? me demandais-je, tout les gens couraient partout, ils s'empressaient d'enfourner dans leurs autos de gros paquets, des télévisions, des meubles, les vitres des magasins étaient toutes brisées, des personnes s'arrachaient des mains des objets, c'était le vrai cahos! Les sirènes des voitures de polices me rendaient sourd, je me précipitais de retourner chez moi, ils étaient tous devenut fou ici. En rentrant je me rendait compte que mes parents souffraient du même symptôme, on dirait que c'est contagieux. Ils m'aidèrent à faire mes valises et à me débarasser de vieux jouets qui pour moi avaient beaucoup de valeur sentimentale.
- " 2 Janvier 3010 ", prononça notre calendrier électronique, c'était le jour du départ, le jour que je redoutais tant sachant que je devais me separer de X 200, ce robot qui depuis l'âge de 6 ans faisait partit de ma vie. Je n'oublierais jamais la grosse boîte dans laquelle il était emballé, j'était tout impressionné, j'avais courageusement ouvert le couvercle et le robot avait prononçé cette phrase : " Bonjour moi c'est X 200, ton ami pour la vie ", je m'en rapelle comme si c'était hier et aujourdhui je devais le laisser ici, périr avec notre planète Terre. Ma mère me ramena de mes pensées et nous nous dirigeâmes vers notre auto, un dernier regard vers notre maison tant aimée, notre vieux quartier et se fût un départ. Nous arrivâmes à la station spatiale, des milliers de familles étaient présentes, et comme nous on pouvait discerner sur leurs visages l'inquiètude, l'angoisse et la tristesse. Un agent de sécurité nous firent monter dans un des vaisseaux, il était énorme! nos valises prirent place dans la soute, certaines personnes devaient laisser quelques effets personnels à cause du manque de place. Ca y est je stresses! je regardais ma montre, il était 14h, nous venions tout juste de décoller et mon regard ne semblais pas vouloir quitter la surface de la terre.
Mes parents avaient prit place à coté de moi et semblaient perdus dans leurs pensées. On ne connaissait rien de cette nouvelle planète qui sois-disant était la soeur jumelle de la Terre, mais Vita était un joli nom et je ne cessais de penser à notre vie future. Le voyage était long, je sentit la chaleur montait en moi comme un malaise, je ressens cà à chaque fois que je suis entouré de gens, nous devons être 1000 à bord et toute cette chaleur humaine m'étouffe. Il est 19 heures, nous attendons patiemment que l'appareil se pose sur cette terre bénit par dieu, on dirait que l'inquiètude augmente de plus en plus et un vent de mélancolie m'envahit soudainement.
- " Le vaisseau va se poser sur le sol de Vita dans quelques instants nous vous prions de boucler vos ceintures et de rester calmes."
Les yeux pleins d'espoirs, nous regardons par les minuscules fenêtres et nous voyons enfin notre terre d'acceuil. Nous descendîmes du vaisseau et observâmes notre nouvel environnement, il y avait peu de végétation mais l'air que je respirait était pur, il n'y avait aucune trace de pollution sur cette planète mais pour combien de temps maintenant que nous sommes arrivés? On nous assigna une nouvelle maison, tout avait était construit d'avance comme quoi nous étions bien les derniers à avoir sut que la terre allait exploser. Les jours passèrent et des dizaines de vaisseaux par jours amenaient de nouvelles familles sur Vita, les gens semblaient s'habituer et reprendre le cours normal de leurs vies malgrès le terrible manque de moyens de technologies. Des emplois étaient crées pour reconstruire des nouvelles machines, des robots, tout ce qui faisait notre quotidien sur Terre en cette année 3010. C'est vrai, je remarquai que Vita ressemblais beaucoup à la terre mais en plus propre, les jours quant à eux étaient plus long, le soleil se couchait à 22 heures et se levait à 6h ce qui ne semblais pas déranger notre entourage. Quant au climat, on était fin Janvier et il faisait au moins 35 C , la neige commençait à nous manquer. On était exactement le 15 Janvier 3010, je n'oublierais jamais cette date, le jour ou la Terre allait cesser d'exister. Un bulletin de nouvelle avait était diffusé sur Vita et on étaient tous dans notre nouvelle habitation plantés devant notre télévision portative. On voulait tous assister à l'explosion de la terre même si celà aller nous peiner énormement et je ne cessait de penser à X 200 que j'avais laissé dans ma chambre, à tout mes souvenirs d'enfance, à mon ancienne école que je détester tant avant mais qui maintenant avait une valeur considérable à mes yeux, mais aucune larme ne fuent versées, peut-être est-ce celà la maturité? On était dans notre nouveau salon, on attendez le moment le moment fatidique en pensant a tous ce qu'on avait laisser derriere nous, et en se demandant pourquoi la Terre allait exploser. Les scientifiques avaient diffusés une émission sur ce phénomème assez complexe et on ne comprit juste qu'on avait épuisé la terre a son maximum et que 2 facteurs biologiques allaient entrés en collision et exploser.
- " Bonsoir mesdames et messieurs, l'heure est venue de dire aurevoir à notre chère planète Terre. L'explosion va être diffusé en direct grâce à nos derniers satellites, tout les Terriens ont put être amenés sur Vita et on espère que cette nouvelle planète vous apportera tout le bonheur nécessaire."
- " ...5,4,3,2,1...et se fut la fin "
Johanna
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